Pourquoi je poste ENCORE et TOUJOURS des questions ? L'exemple vient d'en haut paraît-il. Quand je ne sais pas, je demande. Ce blog est là pour référencer les questions que je pose sur ma ville, Paris, mon Pays, la France, l'Europe dont fait partie mon pays, le Monde, notre seul à tous. Les questions pourront être gentilles, amicales, acides ou caustiques, c'est juste pour comprendre. Et bien évidemment, ces questions appellent des réponses, les vôtres Alors n'hésitez pas une seule seconde.

6 juillet 2011

La noblesse continue de se servir...

Messieurs les Sénateurs,

Vous venez de vous octroyer une prime de 3 531.00 € correspondant à :
"un rattrapage exceptionnel
sur un complément d'indemnité
représentative de frais de mandat (IRFM)
versé en une seule fois fin juin".
Petit rappel :
Indemnité de base mensuelle : 5 514,68 €
Indemnité de résidence : 165,44 €
Indemnité de fonction : 1 420,03 €

Total : 7 100.00 € brut.

A cette somme s'ajoute l'IRFM de 6 240,18 € par mois au 1er mai 2011. Les dignitaires, présidents, vice-présidents, questeurs et secrétaires disposent d'une indemnité supplémentaire de 5 170.00 € brut par mois.

Questions :

"Vous vous rappelez ce qui s'est passé en 1789 ?"

"Si votre salaire ne vous suffit pas,
pourquoi ne commencez-vous pas travailler
tout simplement ?"

"Avez-vous bien compris que la prime
dont parlait Monsieur Sarkozy de Nagy-Bocsa
concernait les salariés
et non les assistés de la République ?"

"Pourquoi un tel salaire alors
que vous n'êtes là que pour
valider les décisions de notre bon roi,
pardon, de Monsieur Sarkozy de Nagy-Bocsa ?"

"Vous croyez que nous allons accepter
encore longtemps vos privilèges
payés avec notre sueur ?"

"Est-ce la juste rémunération
pour votre sommeil au Sénat ?"

Message au P.S. et à la gauche ayant un minimum de sens social :
Si vous ne faites pas un peu de ménage dans tous ces privilèges, sachez que nous ne vous le pardonnerons jamais. Il faut mettre un terme à cet assistanat parlementaire et enfin prendre en considération le peuple et leurs besoins élémentaires...

N'oubliez pas que nous n'oublierons pas...

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