Pourquoi je poste ENCORE et TOUJOURS des questions ? L'exemple vient d'en haut paraît-il. Quand je ne sais pas, je demande. Ce blog est là pour référencer les questions que je pose sur ma ville, Paris, mon Pays, la France, l'Europe dont fait partie mon pays, le Monde, notre seul à tous. Les questions pourront être gentilles, amicales, acides ou caustiques, c'est juste pour comprendre. Et bien évidemment, ces questions appellent des réponses, les vôtres Alors n'hésitez pas une seule seconde.

16 décembre 2015

Lorsque les parasites de la société parlent, ça pique un peu...

Monsieur Longuet,

Je m'étais dit que je n'écrirais plus jamais sur vous dans la mesure où je croyais mort politiquement. Malheureusement pour moi, un spasme s'est fait sentir aujourd'hui par vos propos pour le moins outrageants à notre encontre, nous, français et toutes origines concernant le travail, notre travail.

Vous avez eu le culot de dire ceci :

"Les Français ont des poils dans la main"
"C'est une vérité"
"Nous avons des Français qui ont des poils dans la main,
il faut le savoir.
'C'est trop dur’, 'c'est trop loin’, ' c'est pas ce que je veux’,
'comprenez-moi j'ai été formé pour faire du théâtre
et on me propose de faire du commercial’."

Alors, je ne vais pas poser des questions tout de suite, je vais juste commencer par votre pédigrée :
  •  : député
  • 1978 – 1981 : membre du bureau politique du Parti républicain
  • 1979 – 1992 : conseiller général
  • 1979-1982 : vice-président du conseil général
  • 1982 – 1986 : trésorier du Parti républicain
  • 1983 : élu conseillé municipal
  •  : député européen
  • : député
  • 1986 – 1990 : secrétaire général du Parti républicain
  • 1988 – 1989 : délégué national, chargé des techniques de communication et nouvelles technologies, à l'UDF
  •  : secrétaire d’État
  •  : ministre délégué
  •  : député
  • 1990 – 1995 : président du Parti républicain
  • 1990 – 1998 : membre du bureau politique de l'UDF (vice-président)
  • 1998 : vice-président de la Nouvelle UDF
  • 1998-2001 : vice-président du conseil général
  • 1992 – 2004 : président du conseil régional
  • 1998 – 2001 : conseiller général
  •  : ministre
  •  : sénateur
  • 2002 : membre du bureau politique de l'UMP
  • 2004 : président de l'Association des régions de France
  • 2005 – 2007 : conseiller politique du président de l'UMP
  • 2004 - 2010 : conseiller régional
  •  : président du groupe UMP 
  • -  : ministre
  • -  : vice-président de l'UMP
Questions :
"Pour quelqu'un qui n'a jamais mis les pieds
dans une entreprise privée,
vous n'avez pas l'impression de vous foutre un
tout petit peu de notre gueule, non ?"

"Pour quelqu'un qui vit au crochet de nos impôts,
vous n'avez pas l'impression, vous,
d'avoir une perruque entière dans la main ?"

"Pour quelqu'un qui vient de l'extrême droite,
vous n'avez pas l'impression de toujours resservir
la même soupe grotesque ?"

"Pour quelqu'un qui passe tout son temps,
son "gros cul" sous les ors de la République,
vous n'avez pas l'impression d'outrager
lamentablement ceux qui se lèvent tôt
tous les matins pour payer votre salaire ?"

Monsieur Longuet, quelque fois il faut apprendre à se taire, mieux, vous, c'est à fermer votre grande gueule !!!
"Moi, un ancien nazi,
qui n'a jamais travaillé - Quelle horreur, travailler
Les esclaves, c'est fait pour ça, non ?
Quoi de mieux que de taper sur ceux qui me font vivre...
Ouh, que je suis pathétiquement drôle...
C'est bon, là ? Je ré-existe ?
Ou il faut que je dise d'autres conneries ?
J'en ai plein d'autres en stock..."
Monsieur Longuet, vous êtes au travail ce qu'est Christine Boutin à la famille. Je traduis : vous parler d'un domaine, le travail, qui vous est totalement inconnu comme madame Boutin par le de la famille parfaite alors qu'elle se tape son cousin depuis 2 siècles (oui, elle a morflé, elle n'est plus toute jeune, la vieille peau)...

Si vous pensez que vous allez exister en disant des énormités pareilles, sachez que oui, vous allez exister, mais pas comme vous l'auriez souhaité. Vous êtes une honte morale, sociétale et économique. Taisez-vous et retournez d'où vous n'auriez jamais dû sortir, du caniveau de la droite...

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